Bonjour
Pour les assmars proprietaire d'animaux domestiques,
Ou mettez vous vos animaux pendant vos journées de travail ?
Animaux
Re: Animaux
Bonjour c'est quoi comme animal si ces des chiens font-ils parti d'une catégorie?
moi personnellement j'ai 2 chiens dont 1 qui reste toujours à la maison car très petit gabarit 1kg 800 et l'autre si il fait beau elle va dehors d'elle même sinon elle se couche dans son panier qui est dans le couloir par contre avant de signer tout contrat j'explique bien au futur employeur la présence de mes chiens car je me voit mal les isoler surtout la petite jamais été habituer à cela et c'est une chose à ne surtout pas faire pour le bien être de votre animal surtout si c'est un chien qui n'as jamais été mit à part des sa naissance ,j'explique aux enfants qui son en âge de comprendre que les animaux ne sont pas des jouets et surtout qu'on ne doit pas les taper ni les déranger et cela se passe très bien depuis 10 ans j'arrive pas à comprendre la PMI au sujet des animaux car dans plusieurs domaines médicales ils sont utiles comme dans la zoothérapies et si un enfant est en contact dés sa naissance avec des animaux il risque beaucoup moins d'être allergique que un enfant qui n'as pas de contact des études ont été faites regarder sur google et ils en ont parler à plusieurs reprises a la tv.
J'aime les enfants et les animaux si un jour ont me dit plus de contact enfants animaux je retourne travailler à l'extérieur Bonne journée
moi personnellement j'ai 2 chiens dont 1 qui reste toujours à la maison car très petit gabarit 1kg 800 et l'autre si il fait beau elle va dehors d'elle même sinon elle se couche dans son panier qui est dans le couloir par contre avant de signer tout contrat j'explique bien au futur employeur la présence de mes chiens car je me voit mal les isoler surtout la petite jamais été habituer à cela et c'est une chose à ne surtout pas faire pour le bien être de votre animal surtout si c'est un chien qui n'as jamais été mit à part des sa naissance ,j'explique aux enfants qui son en âge de comprendre que les animaux ne sont pas des jouets et surtout qu'on ne doit pas les taper ni les déranger et cela se passe très bien depuis 10 ans j'arrive pas à comprendre la PMI au sujet des animaux car dans plusieurs domaines médicales ils sont utiles comme dans la zoothérapies et si un enfant est en contact dés sa naissance avec des animaux il risque beaucoup moins d'être allergique que un enfant qui n'as pas de contact des études ont été faites regarder sur google et ils en ont parler à plusieurs reprises a la tv.
J'aime les enfants et les animaux si un jour ont me dit plus de contact enfants animaux je retourne travailler à l'extérieur Bonne journée
Re: Animaux
Enfants et animaux de compagnie : amis pour la vie
Par Candice Satara-Bartko
Publié le 5 mai 2011
Papa, maman…, je veux un chien !
Papa, maman…, je veux un chien !
Ce n’est pas un hasard si les enfants raffolent de ces petites boules de poils. L'animal de compagnie a un côté rassurant, attendrissant, chaleureux, qui le rend très attirant aux yeux des êtres humains et plus particulièrement des plus petits. Qui n’a jamais idéalisé son chien ou son chat ? On lui attribue des qualités humaines telles que la fidélité, l’écoute, le respect. « Dans neuf cas sur dix, les enfants citent l’animal comme un membre à part entière de la famille », souligne Marine Grandgeorge, chercheur spécialisé dans la relation homme-animal.
L’enfant fait la différence entre l’animal et la peluche très tôt. Aux alentours de deux, trois ans, on repère une certaine forme de crainte vis-à-vis de l’animal nouveau qui correspond à un moment où l’enfant a peur des choses inconnues. A cet âge-là, il manifeste aussi des gestes brusques comme tirer la queue, les poils du chien ou lui mettre les doigts dans les yeux. « Ce n’est qu’à partir de 4 ans que se développent les comportements affiliatifs qui consistent à étreindre l’animal, l’embrasser, le caresser, dormir avec lui », ajoute Victoria Chasle Castillo, comportementaliste animalier et experte sur Wamiz, le site de référence sur les animaux.
Un compagnon rêvé
Un compagnon rêvé
La relation entre l'enfant et l'animal ne se résume pas à quelques caresses ou à des activités ludiques. C’est la rencontre entre deux individus, le début d’une complicité qui contribue à développer le sens des responsabilités et à structurer la personnalité de l’enfant. « L’animal familier apaise, sécurise, structure et canalise l’enfant. Il facilite également les liens sociaux, développe la communication et le langage… », explique la comportementaliste animalier. Le célèbre chercheur et professeur Hubert Montagner s’est interrogé longuement sur la raison de cet attachement que les enfants peuvent éprouver pour un chat ou un chien. D’après lui, « les relations avec les animaux déverrouillent le monde intérieur de l’enfant, dévoilent et structurent ses compétences, stimulent sa faculté d’apprendre, son imaginaire. ». On retrouve souvent un animal dans un foyer où l’enfant est unique ou lorsqu’il est le dernier d’une fratrie. Dans ce cas, il peut pallier à un frère ou à une sœur. De compagnon de jeu, l’animal devient peu à peu le plus fidèle confident de l’enfant.
L'apprentissage de la vie
L'apprentissage de la vie
La présence d’un enfant dans un foyer est souvent le déclic pour acquérir un animal. Néanmoins, cet acte doit être mûrement réfléchi. La raison de l’adoption est essentielle. Les parents peuvent très bien adopter un animal pour eux, même s’il s’agit d’une demande de l’enfant. Ils s’en occuperont et l’enfant ne sera pas impliqué. Au contraire, « il peuvent se servir de l’animal comme d’un support d’éducation pour responsabiliser leur enfant », note Marine Grangeorge. La présence d’un animal permet ainsi d’expliquer les cycles de la vie : la maternité lorsque la chatte fait des petits, une première confrontation à la mort avec la perte du hamster…. Au contact de l’animal, le petit homme fait l’apprentissage de l’autorité et développe sa responsabilité. Il prend conscience de ses capacités à prendre soin d’un être vivant.
Quand l'animal devient un médiateur
Quand l'animal devient un médiateur
On connaît les chiens guides d'aveugles, précieux alliés qui embellissent et facilitent la vie des personnes non-voyantes. Mais l’animal peut aussi avoir un rôle de médiateur pour permettre à des enfants handicapés ou en difficultés sociales, comme à des personnes âgées, de rompre leur isolement. « Les effets de la médiation animale ne sont pas prouvés scientifiquement, précise Marine Grangeorges, mais dans la pratique on ne peut pas nier son influence positive ». Durant les séances de médiation, l’enfant est mis en contact avec un animal. Cette rencontre peut lui permettre de s’exprimer et l’aider à reprendre confiance en lui. Le chercheur a mené l’expérience avec un cochon d’Inde chez des enfants autistes. « Si un tiers des enfants ne se sont pas intéressés à l’animal, certains sont allés vers lui, d’autres se sont tournés vers les parents. Ce qui prouve le rôle de catalyseur social de l’animal qui amène l’enfant à communiquer. »
Aurélie Vinceneux a fondé l’association Cœur d’Artichiens. Elle a mené des séances de médiation animale dans une école de Zone d’Education Prioritaire (ZEP) près de Nantes. A chaque fois la présence de son chien en salle de classe a été très bénéfique pour les élèves qui arrivaient ainsi à mieux se concentrer. « L'enfant va naturellement créer un lien de complicité avec l'animal. C’est sur ce lien que l’intervenant en médiation animale va s’appuyer pour travailler avec lui », souligne-t-elle. Avec Thomas qui entrait en CM2, Aurélie a élaboré tout un programme scolaire qui plaçait le chat au centre de la pédagogie (dictée sur la rencontre avec le chat, mathématiques à partir des tâches sur son pelage). Incontestablement, chez les enfants instables et en difficulté sociale, la présence d'un animal donne des résultats positifs.
Par Candice Satara-Bartko
Publié le 5 mai 2011
Papa, maman…, je veux un chien !
Papa, maman…, je veux un chien !
Ce n’est pas un hasard si les enfants raffolent de ces petites boules de poils. L'animal de compagnie a un côté rassurant, attendrissant, chaleureux, qui le rend très attirant aux yeux des êtres humains et plus particulièrement des plus petits. Qui n’a jamais idéalisé son chien ou son chat ? On lui attribue des qualités humaines telles que la fidélité, l’écoute, le respect. « Dans neuf cas sur dix, les enfants citent l’animal comme un membre à part entière de la famille », souligne Marine Grandgeorge, chercheur spécialisé dans la relation homme-animal.
L’enfant fait la différence entre l’animal et la peluche très tôt. Aux alentours de deux, trois ans, on repère une certaine forme de crainte vis-à-vis de l’animal nouveau qui correspond à un moment où l’enfant a peur des choses inconnues. A cet âge-là, il manifeste aussi des gestes brusques comme tirer la queue, les poils du chien ou lui mettre les doigts dans les yeux. « Ce n’est qu’à partir de 4 ans que se développent les comportements affiliatifs qui consistent à étreindre l’animal, l’embrasser, le caresser, dormir avec lui », ajoute Victoria Chasle Castillo, comportementaliste animalier et experte sur Wamiz, le site de référence sur les animaux.
Un compagnon rêvé
Un compagnon rêvé
La relation entre l'enfant et l'animal ne se résume pas à quelques caresses ou à des activités ludiques. C’est la rencontre entre deux individus, le début d’une complicité qui contribue à développer le sens des responsabilités et à structurer la personnalité de l’enfant. « L’animal familier apaise, sécurise, structure et canalise l’enfant. Il facilite également les liens sociaux, développe la communication et le langage… », explique la comportementaliste animalier. Le célèbre chercheur et professeur Hubert Montagner s’est interrogé longuement sur la raison de cet attachement que les enfants peuvent éprouver pour un chat ou un chien. D’après lui, « les relations avec les animaux déverrouillent le monde intérieur de l’enfant, dévoilent et structurent ses compétences, stimulent sa faculté d’apprendre, son imaginaire. ». On retrouve souvent un animal dans un foyer où l’enfant est unique ou lorsqu’il est le dernier d’une fratrie. Dans ce cas, il peut pallier à un frère ou à une sœur. De compagnon de jeu, l’animal devient peu à peu le plus fidèle confident de l’enfant.
L'apprentissage de la vie
L'apprentissage de la vie
La présence d’un enfant dans un foyer est souvent le déclic pour acquérir un animal. Néanmoins, cet acte doit être mûrement réfléchi. La raison de l’adoption est essentielle. Les parents peuvent très bien adopter un animal pour eux, même s’il s’agit d’une demande de l’enfant. Ils s’en occuperont et l’enfant ne sera pas impliqué. Au contraire, « il peuvent se servir de l’animal comme d’un support d’éducation pour responsabiliser leur enfant », note Marine Grangeorge. La présence d’un animal permet ainsi d’expliquer les cycles de la vie : la maternité lorsque la chatte fait des petits, une première confrontation à la mort avec la perte du hamster…. Au contact de l’animal, le petit homme fait l’apprentissage de l’autorité et développe sa responsabilité. Il prend conscience de ses capacités à prendre soin d’un être vivant.
Quand l'animal devient un médiateur
Quand l'animal devient un médiateur
On connaît les chiens guides d'aveugles, précieux alliés qui embellissent et facilitent la vie des personnes non-voyantes. Mais l’animal peut aussi avoir un rôle de médiateur pour permettre à des enfants handicapés ou en difficultés sociales, comme à des personnes âgées, de rompre leur isolement. « Les effets de la médiation animale ne sont pas prouvés scientifiquement, précise Marine Grangeorges, mais dans la pratique on ne peut pas nier son influence positive ». Durant les séances de médiation, l’enfant est mis en contact avec un animal. Cette rencontre peut lui permettre de s’exprimer et l’aider à reprendre confiance en lui. Le chercheur a mené l’expérience avec un cochon d’Inde chez des enfants autistes. « Si un tiers des enfants ne se sont pas intéressés à l’animal, certains sont allés vers lui, d’autres se sont tournés vers les parents. Ce qui prouve le rôle de catalyseur social de l’animal qui amène l’enfant à communiquer. »
Aurélie Vinceneux a fondé l’association Cœur d’Artichiens. Elle a mené des séances de médiation animale dans une école de Zone d’Education Prioritaire (ZEP) près de Nantes. A chaque fois la présence de son chien en salle de classe a été très bénéfique pour les élèves qui arrivaient ainsi à mieux se concentrer. « L'enfant va naturellement créer un lien de complicité avec l'animal. C’est sur ce lien que l’intervenant en médiation animale va s’appuyer pour travailler avec lui », souligne-t-elle. Avec Thomas qui entrait en CM2, Aurélie a élaboré tout un programme scolaire qui plaçait le chat au centre de la pédagogie (dictée sur la rencontre avec le chat, mathématiques à partir des tâches sur son pelage). Incontestablement, chez les enfants instables et en difficulté sociale, la présence d'un animal donne des résultats positifs.
Re: Animaux
Moins d'infections pour les bébés au contact de chiens
Mots clés : immunologie, chiens, bébés, Affections respiratoires
Par figaro iconMarielle Court - le 09/07/2012
La présence de l'animal pourrait aider à faire mûrir le système immunitaire des très jeunes enfants.
Vivre dans un milieu trop aseptisé serait-il source d'allergies et notamment d'asthme pour les enfants? La nouvelle étude que vient de publier une équipe de chercheurs finlandais de l'hôpital universitaire de Kuopio va dans ce sens. Elle montre que les bébés ayant vécu au contact de chiens voire de chats développent moins d'affections respiratoires que ceux n'ayant pas eu ce contact.
Cette étude, publiée dans la revue Pédiatrics , a porté sur un peu moins de 400 enfants de moins de un an. Durant une année, leurs parents ont consciencieusement, jour après jour, consigné l'état de santé de leur bébé. Il ressort donc que ceux en contact avec des animaux familiers étaient environ 30 % moins enclins à manifester des symptômes de type toux, sifflement ou encore rhinite et environ moitié moins à développer des infections de l'oreille.
L'étude montre également que la protection est optimale lorsque le chien est présent dans la maison durant au moins 6 heures par jour et qu'elle diminue s'il est moins longtemps au contact du bébé et, surtout, s'il est cantonné à l'extérieur. Enfin, il ressort que non seulement les enfants sont moins malades mais qu'ils ont, en moyenne, moins besoin de recourir aux antibiotiques.
Moins d'enfants malades dans les fermes
Cette étude vient confirmer une tendance mise en évidence il y a quelques années par Erika von Mutius l'une des pionnières sur cette thématique. «Ce médecin allemand a notamment montré que des petits enfants vivant dans des fermes où il y avait des animaux étaient moins malades que ceux vivant également à la campagne mais sans être entourés d'animaux», rapporte l'immunologiste Jean-François Bach. Elle a même mis en évidence que cela fonctionnait aussi lorsque la proximité avec les animaux avait seulement concerné les mères. Il y a une vingtaine d'années, cette femme qui dirige le service d'allergologie de l'hôpital pour enfants de Munich (Allemagne) avait déjà montré que l'asthme était plus fréquent en Allemagne de l'Ouest qu'à l'Est avant la chute du mur de Berlin. Un constat quelque peu dérangeant à l'époque en raison du niveau élevé de pollution chimique à l'Est, opposé à un niveau socio-économique et à des conditions d'hygiène jugées bien plus favorables à l'Ouest.
«Ce qui est dangereux, c'est le biberon qui reste au soleil»
«Nous faisons l'hypothèse que les contacts des animaux pourraient aider à faire mûrir le système immunitaire menant à des réponses immunitaires plus efficaces et à des périodes d'infection plus courtes», précisent les auteurs de l'étude finlandaise. Cette situation a été confirmée même après que les chercheurs écartent d'autres facteurs pouvant renforcer des risques d'infections (fréquentation d'une crèche, proximité de fumeurs, parents asthmatiques, alimentation au biberon plutôt qu'au sein…). Mais alors, quelles mesures d'hygiène faut-il retenir aujourd'hui? «Ce qui est dangereux, c'est le biberon qui reste au soleil et qui se transforme en véritable bouillon de culture, mais il ne faut pas s'inquiéter d'un enfant dont les mains ne sont pas très propres et qui porte ses doigts à la bouche», reprend le professeur Jean-François Bach, qui est également secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences. «L'hygiène qui compte, c'est la propreté de l'eau que l'on boit, c'est la chaîne du froid, ce sont les vaccinations et les antibiotiques utilisés à bon escient, dès lors que l'on n'en abuse pas», ajoute-t-il.
Quoi qu'il en soit, toutes ces questions évoluent très vite. Les études les plus récentes montrent ainsi que l'on peut expliquer un dérèglement du système immunitaire à partir de la qualité des quelque trois mille milliards de bactéries qui colonisent notre intestin. L'industrie pharmaceutique travaille également sur des médicaments qui, à terme, permettraient d'administrer des bactéries non pathogènes (des probiotiques) et qui pourraient stimuler le système immunitaire.
Mots clés : immunologie, chiens, bébés, Affections respiratoires
Par figaro iconMarielle Court - le 09/07/2012
La présence de l'animal pourrait aider à faire mûrir le système immunitaire des très jeunes enfants.
Vivre dans un milieu trop aseptisé serait-il source d'allergies et notamment d'asthme pour les enfants? La nouvelle étude que vient de publier une équipe de chercheurs finlandais de l'hôpital universitaire de Kuopio va dans ce sens. Elle montre que les bébés ayant vécu au contact de chiens voire de chats développent moins d'affections respiratoires que ceux n'ayant pas eu ce contact.
Cette étude, publiée dans la revue Pédiatrics , a porté sur un peu moins de 400 enfants de moins de un an. Durant une année, leurs parents ont consciencieusement, jour après jour, consigné l'état de santé de leur bébé. Il ressort donc que ceux en contact avec des animaux familiers étaient environ 30 % moins enclins à manifester des symptômes de type toux, sifflement ou encore rhinite et environ moitié moins à développer des infections de l'oreille.
L'étude montre également que la protection est optimale lorsque le chien est présent dans la maison durant au moins 6 heures par jour et qu'elle diminue s'il est moins longtemps au contact du bébé et, surtout, s'il est cantonné à l'extérieur. Enfin, il ressort que non seulement les enfants sont moins malades mais qu'ils ont, en moyenne, moins besoin de recourir aux antibiotiques.
Moins d'enfants malades dans les fermes
Cette étude vient confirmer une tendance mise en évidence il y a quelques années par Erika von Mutius l'une des pionnières sur cette thématique. «Ce médecin allemand a notamment montré que des petits enfants vivant dans des fermes où il y avait des animaux étaient moins malades que ceux vivant également à la campagne mais sans être entourés d'animaux», rapporte l'immunologiste Jean-François Bach. Elle a même mis en évidence que cela fonctionnait aussi lorsque la proximité avec les animaux avait seulement concerné les mères. Il y a une vingtaine d'années, cette femme qui dirige le service d'allergologie de l'hôpital pour enfants de Munich (Allemagne) avait déjà montré que l'asthme était plus fréquent en Allemagne de l'Ouest qu'à l'Est avant la chute du mur de Berlin. Un constat quelque peu dérangeant à l'époque en raison du niveau élevé de pollution chimique à l'Est, opposé à un niveau socio-économique et à des conditions d'hygiène jugées bien plus favorables à l'Ouest.
«Ce qui est dangereux, c'est le biberon qui reste au soleil»
«Nous faisons l'hypothèse que les contacts des animaux pourraient aider à faire mûrir le système immunitaire menant à des réponses immunitaires plus efficaces et à des périodes d'infection plus courtes», précisent les auteurs de l'étude finlandaise. Cette situation a été confirmée même après que les chercheurs écartent d'autres facteurs pouvant renforcer des risques d'infections (fréquentation d'une crèche, proximité de fumeurs, parents asthmatiques, alimentation au biberon plutôt qu'au sein…). Mais alors, quelles mesures d'hygiène faut-il retenir aujourd'hui? «Ce qui est dangereux, c'est le biberon qui reste au soleil et qui se transforme en véritable bouillon de culture, mais il ne faut pas s'inquiéter d'un enfant dont les mains ne sont pas très propres et qui porte ses doigts à la bouche», reprend le professeur Jean-François Bach, qui est également secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences. «L'hygiène qui compte, c'est la propreté de l'eau que l'on boit, c'est la chaîne du froid, ce sont les vaccinations et les antibiotiques utilisés à bon escient, dès lors que l'on n'en abuse pas», ajoute-t-il.
Quoi qu'il en soit, toutes ces questions évoluent très vite. Les études les plus récentes montrent ainsi que l'on peut expliquer un dérèglement du système immunitaire à partir de la qualité des quelque trois mille milliards de bactéries qui colonisent notre intestin. L'industrie pharmaceutique travaille également sur des médicaments qui, à terme, permettraient d'administrer des bactéries non pathogènes (des probiotiques) et qui pourraient stimuler le système immunitaire.
Re: Animaux
Bonjour, comme lepyout, j'ai un chien de petite taille il vit avec nous donc les parents savent des le départ qu'il fait parti de notre vie et qu'il n'est pas question de l'isoler quand je garde leur enfant , mais je ne les laisse jamais seul avec mon chien et j'explique aux enfants très tot qu'il faut le laisser tranquille quand il dort , mange .
Un animal est très bien pour les enfants
Un animal est très bien pour les enfants
Re: Animaux
Tout à fait d'accord avec vous. Je garde depuis plus de 1O ans des enfants. J'ai toujours eu un chat à la maison et la cohabitation enfant/chat s'est toujours bien passée !!!!
Bien-sûr, il suffit de les surveiller et faire comprendre aux enfants qu'un animal n'est pas un jouet. Et mon gros matou quand il veut être tranquille va se réfugier dans une autre pièce ou il sort dehors....
Sa litière et sa gamelle sont hors de la portée des enfants.
Lors de la dernière visite de la puéricultrice, il y a 1 an, celle-ci a exigé que je mette mon chat à l'écart des enfants... alors qu'il n'y a jamais eu de problème !!!
bonne fin d'après-midi !
Bien-sûr, il suffit de les surveiller et faire comprendre aux enfants qu'un animal n'est pas un jouet. Et mon gros matou quand il veut être tranquille va se réfugier dans une autre pièce ou il sort dehors....
Sa litière et sa gamelle sont hors de la portée des enfants.
Lors de la dernière visite de la puéricultrice, il y a 1 an, celle-ci a exigé que je mette mon chat à l'écart des enfants... alors qu'il n'y a jamais eu de problème !!!
bonne fin d'après-midi !
PATRICIA